Comment assurer la continuité de votre exploitation suite à un sinistre ?

exploitation suite à un sinistre

Publié le : 27 mars 20195 mins de lecture

Peu importe le domaine dans lequel elle se trouve, une entreprise doit se préparer aux éventuels sinistres susceptibles de l’atteindre. Problèmes de personnel, catastrophes naturelles, dysfonctionnement technique, tout doit être prévu pour la continuité de son exploitation. Pour éviter de tomber dans le piège, les dirigeants se doivent d’élaborer un plan d’attaque et des solutions provisoires dans ce genre de situation. Mais comment faire ? Vous trouverez dans cet article toutes les bonnes stratégies pour prévenir les catastrophes pouvant heurter les activités d’une entreprise.

Prévoir des solutions de secours

Quelle que soit la nature du problème, il est important d’avoir un plan B pour ne pas tomber en faillite. En effet, personne n’est à l’abri du déchaînement de Dame nature, même les plus grands établissements. Toutefois, il est possible de minimiser au maximum les dégâts en cas de catastrophes naturelles.

Pour protéger son matériel, une société peut opter pour la construction d’un bâtiment spécial en guise de stockage temporaire. De cette manière, tous les appareils contribuant au bon fonctionnement de l’entreprise restent en sécurité même après un sinistre. Il en est de même pour le mobilier et les outils technologiques jusqu’à ce que les dégâts soient réparés.

Pour cela, vous pourrez aussi opter pour un bâtiment modulaire, très pratique dans ce genre de situation. Certains professionnels tels que spaciotempo vous proposent d’ailleurs de nombreux services concernant les bâtiments démontables. Pour en savoir plus sur ce prestataire, cliquez ici.

Analyser les risques et établir un plan de reprise

Avant de prévoir quoi que ce soit, le premier réflexe à avoir est d’évaluer certains paramètres. La première étape concerne l’analyse des risques. Ici, l’essentiel est de déterminer tous les potentiels facteurs d’un sinistre.

Il est possible que la catastrophe soit d’origine naturelle, dans ce cas on parle de tempêtes, de cyclones ou encore d’inondations. Si le problème survient d’un problème technique, c’est peut-être dû à un matériel défectueux ou un logiciel malveillant. Il est aussi admis que le sinistre soit d’origine humaine. Dans ce genre de situation, ça peut être l’œuvre d’un employé, d’un dirigeant ou de personnes externes.

Pour remédier à tout ça, un plan de reprise doit être établit en amont. Pour ce faire, le PCA s’avère indispensable. Le PCA ou plan de continuité d’activité est un ensemble de stratégies visant à perdurer son exploitation même en cas de sinistres. Les procédures de cette technique se divisent en 2:

-Le diagnostic

Cette étape est primordiale, puisqu’elle permet de définir le degré de criticité d’une catastrophe donnée. L’idée est de cibler les impacts que l’événement pourrait avoir sur le fonctionnement de l’entreprise.

-L’apport d’une solution adaptée

Une fois le diagnostic terminé, il faut maintenant trouver des solutions concrètes pour chaque situation. Un hangar industriel peut d’ailleurs être une alternative intéressante en cas de dégâts matériels.

Se munir d’une assurance perte d’exploitation

Ce type d’assurance est d’une grande utilité pour les établissements commerciaux. En y souscrivant, on peut s’alléger des dépenses pour la réparation des dégâts suie à un événement destructeur. Bien que cela n’empêche pas tout problème lié à la faillite d’une entreprise, c’est une solution très économique. Ainsi, un établissement touché par un sinistre pourra utiliser ses fonds pour propulser sa marque sans avoir à payer les frais des éventuelles réparations.

Plusieurs événements sont couverts par l’assurance perte d’exploitation à savoir : les incendies, les explosions, la foudre, les inondations… Cela garantit également tout autre sinistre en rapport avec les conditions climatiques telles que les dégâts causés par une tempête, la neige, la grêle, les orages,… Il faut aussi noter que les catastrophes naturelles font partie des garanties obligatoires. Il s’agit notamment des tremblements de terre, des tsunamis, des éruptions volcaniques, des tornades, etc. Les mouvements populaires sont également pris en charge, tout comme les actes délictuels et criminels. On peut compter parmi ceux-là les attentats, les actes de terrorisme, le vandalisme, les braquages ou même le cambriolage. Enfin, l’assurance perte d’exploitation s’occupe aussi des bris de machine, des accidents aux appareils électriques ainsi que des chocs de véhicules avec les bâtiments industriels.

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